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Nous le savons tous, l'arrivée de l'automne n'est pas sans conséquences et on a tendance à remarquer une hausse de la mauvaise humeur, des baisses de tonus ou encore un manque de concentration qui sont des signes parmi d'autres de la dépression saisonnière naissante. Par conséquent pour affronter cette chute de volonté et de joie de vivre, plusieurs astuces peuvent être respecter pour obtenir un résultat rayonnant!
Voir la lumière du jour en se réveillant active la sécrétion de cortisol, une hormone qui régule le métabolisme et aide à la synchronisation jour nuit. Ouvrir fenêtres et rideaux pour laisser pénétrer la lumière au maximum dans l'habitat dès le matin est un bon geste à prendre.
Les murs aux couleurs pâles et les miroirs accentuent cet effet lumineux. Le simulateur d'aube qui émet une lumière douce et graduelle jusqu'au réveil permet quant à lui d'augmenter le cortisol pour un éveil naturel et plus serein.
Manque de lumière, froid, fatigue et moral en berne sont autant de symptômes réunis sous le nom de dépression saisonnière, un mal qui affecte 3 à 5% des habitants de l'hémisphère Nord dès l'automne.
Le manque de luminosité et les jours raccourcis ont également une influence considérable sur notre horloge biologique car la mélatonine, une hormone secrétée avec la lumière, assure de multiples fonctions de notre métabolisme dont celle de réguler l'humeur.
Pour retrouver le moral et passer le cap de cette saison en douceur, quelques conseils s'imposent!
Riches en omégas 3 et en vitamine D, le poisson (en particulier les poissons gras et fruits de mer) est un bon remède contre la dépression saisonnière et joue un rôle non négligeable dans la régulation de l'humeur.
Pour faire le plein en magnésium et lutter contre la fatigue ou le stress, noix, noisettes et chocolat noir font leur effet.
Enfin, les vitamines des fruits (agrumes riches en vitamine C) et des légumes verts (chou et épinards en particulier) aideront à rester en bonne santé et à préserver tonus et vitalité tout au long de l'hiver.
Les fleurs de millepertuis contiennent de la mélatonine et de la sérotonine, qui jouent un rôle dans la régulation de l'humeur. Ces plantes sont traditionnellement utilisées pour traiter la dépression. Disponibles en infusion, en teinture, en huile ou sous forme de gélules, elles doivent être prises en cures d'au moins 6 semaines.
D'une manière générale, les effets bénéfiques sur les plantes sont reconnus par tous. Voila donc une bonne occasion de se faire une idée plus précise sur l'efficacité des plantes sur notre corps.
C'est prouvé scientifiquement : l'activité physique est bénéfique contre la dépression et ses symptômes. Elle est également idéale pour mieux dormir, aide à réguler l'humeur et dope les défenses immunitaires. Trois séances de sport dans la semaine, au moins 30 minutes par jour et en extérieur pour s'exposer à une bonne luminosité aident à combattre le blues de l'hiver.
Notez d'ailleurs, que vous serez moins sujet à la dépression de l'automne si vous entretenez une forme physique régulière. Votre corps sera alors apte à combattre cette légère déficience. Par exemple, la marche à pied, le vélo ou encore le Running sont fortement recommandés. On peut aussi profiter des sports d'hiver pour s'adonner au ski, au patin à glace ou à la marche nordique.
L'idée est d'optimiser les heures libres que vous pouvez réservez à votre seule personne. Cette nouvelle tendance américaine prône l’allongement de nos journées afin de diversifier nos activités. En plus d'être plus productif, cette méthode vous permettra un épanouissement certain et donc un remède certain contre votre petit blues saisonnier habituel. La seule condition à la réussite de cette méthode est de ne pas se coucher trop tard la nuit afin de respecter le temps de sommeil nécessaire à votre récupération.
La musique influe directement sur nos émotions et fait partie du quotidien de la plupart d'entre nous. D'ailleurs, parait-il qu'il existe une recette réunissant ingrédients bénéfiques pour notre santé morale. Rappelons que les biens faits de la musiques ne sont plus à prouver. Toutefois, les neurosciences auraient-elles vraiment trouvé la recette du morceau qui rend heureux ? Le chercheur Jacop Jolij a en tout cas défini scientifiquement trois critères nécessaires à une musique pour nous réjouir à ne plus pouvoir s'arrêter : le tempo doit être d’un minimum de 150 battements par minute, les paroles doivent être positives et le compositeur doit utiliser une gamme de notes en mode majeur. D’ailleurs “Don’t Stop Me Now” arrive en tête de classement.
